Sur l'épiderme d’une citrouille provenant d’un champ, présence de quelques lésions beiges, plutôt circulaires, plus ou moins profondes et localisées sur un seul côté du fruit. L'épiderme se renfonce dans la chair vis-à-vis ces lésions. Les observations microscopiques n'ont pas révélé la présence d'agents pathogènes sur ces lésions. Les dommages sont superficiels et lorsque les lésions sont plus profondes, les tissus sous-jacents sont subérisés. Il est rapporté sur la fiche de renseignements qu'un épisode de grêle est survenu dans la région un mois avant l'envoi de cet échantillon. Compte tenu des symptômes non évolutifs et localisés sur un seul côté du fruit, il s'agit fort probablement de dégâts causés par la grêle.
Sur l'épiderme d’une citrouille provenant d’un champ, présence de quelques lésions beiges, plutôt circulaires, plus ou moins profondes et localisées sur un seul côté du fruit. L'épiderme se renfonce dans la chair vis-à-vis ces lésions. Les observations microscopiques n'ont pas révélé la présence d'agents pathogènes sur ces lésions. Les dommages sont superficiels et lorsque les lésions sont plus profondes, les tissus sous-jacents sont subérisés. Il est rapporté sur la fiche de renseignements qu'un épisode de grêle est survenu dans la région un mois avant l'envoi de cet échantillon. Compte tenu des symptômes non évolutifs et localisés sur un seul côté du fruit, il s'agit fort probablement de dégâts causés par la grêle.
Sur l'épiderme d’une citrouille provenant du champ, présence de quelques lésions beiges, plutôt circulaires, plus ou moins profondes et localisées sur un seul côté du fruit. L'épiderme se renfonce dans la chair vis-à-vis ces lésions. On aperçoit sur la partie découpée que les dommages sont superficiels et sur la lésion d’à côté, la subérisation des tissus. Les observations microscopiques n'ont pas révélé la présence d'agents pathogènes sur ces lésions. Il est rapporté sur la fiche de renseignements qu'un épisode de grêle est survenu dans la région un mois avant l'envoi de cet échantillon. Compte tenu des symptômes non évolutifs et localisés sur un seul côté du fruit, il s'agit fort probablement de dégâts causés par la grêle.
Citrouille - Grêle
Citrouille - Grêle
Citrouille - Grêle
Description

Toutes les cultures cultivées au champ sont sujettes à des dommages par la grêle. Ces dommages n’évoluent pas, mais la grêle cause des blessures qui deviennent une porte d’entrée pour le développement d’organismes secondaires. Lorsque la grêle survient au moment de la floraison, de la nouaison ou du développement des fruits, les dommages sont plus importants. La grêle demeure un problème non parasitaire occasionnel et mineur.

Symptômes et dommages

Feuille : présence de lacérations ou de déchirures du limbe. Les feuilles les plus exposées sont atteintes en premier.
 
Fleur : chute possible des fleurs, hypothéquant la production de fruit.
 
Fruit : présence de taches, de lésions, de dépressions, de pourritures, d’anomalies de coloration ou de déformations (se ratatinent). Les dommages sont localisés sur un seul côté de l’épiderme, celui exposé à la grêle. Chez les cucurbitacées, les blessures se cicatrisent (aspect liégeux).
 
Tige : se brisent ou cassent.

Ne pas confondre

Chez les cucurbitacées, les symptômes peuvent être confondus avec ceux de la gale (Cladosporium cucumerinum – épisode de grêle requis, car les deux font des tissus liégeux) ou la pourriture noire des fruits (Phoma cucurbitacearum – généralement présence de taches concentriques, fructifications noires).